Hollande et la médiocrité de l'État-PS de "profanation intégrale"

Si on lit Vincent Trémolet de Villers, sur le Figaro, on comprend que la tyrannie idéologique de l'État-PS et des idéologues du lobby GOF-LGBT impose au pays réel une dictature gay-mondialiste obscène et une "époque de "profanation intégrale" où il n'y a plus ni silence ni recueillement". (cité par Polémia).

La tyrannie idéologique de la république socialiste de Hollande, c'est la nuit de l'obscurantisme et de l'inculture généralisée, à l'école, dans les manifestations pseudo-culturelles, dans le cinéma subventionné et dans tous les médias de la caste politico-bobo-médiatique socialiste, mondialiste et gay-cosmopolite.

Vincent Trémolet de Villers est rédacteur en chef des pages Débats/Opinions du Figaro : "Il faut n'avoir jamais (connu) les villages martyrs : Beaumont, Fleury, Cumières… pour envisager de commémorer la bataille de Verdun (avec) le chanteur invité : "On va s'amuser". Il faut ne rien connaître des paroles de poilus : "C'est vraiment une vision de mort, de destruction acharnée, ce ravin. Des morts partout, dans toutes les positions", pour (que) le secrétaire d'État aux Anciens Combattants (puisse) affirmer que l'indignation (contre Black M serait) "un premier pas vers le fascisme". C'est (vouloir nier et vouloir oublier) que "Verdun, c'est 300.000 morts français et allemands dont 100.000 sans sépulture et que "seul le silence des consécrateurs convenait au repos des hommes qui avaient souffert en silence, qui étaient morts en silence" (Montherlant).

"Plongés dans la nuit de l'inculture, nous devons supporter les provocations, les approximations, les manipulations du gouvernement… Comme si ("On va s'amuser") sur le souvenir des soldats morts au combat était un moyen de "faire plaisir aux jeunes" (des quartiers abandonnés par l'Éducation nationale socialiste).

La propagande socialo-populiste gay-mondialiste impose de "s'amuser et de nier les misères de la guerre" pour contrefaire l'Histoire et asservir les masses. Dans le même sens négationniste gay-mondialiste : "La France (socialiste) a voté une résolution de l'Unesco déniant tout lien historique entre les juifs et le mur occidental (le mur des Lamentations), voire le temple de Jérusalem !" Quand Moscovici, déguisé par Hollande en commissaire européen socialo-négationniste ignare, affirme qu'il ne croit pas "aux racines chrétiennes de l'Europe", il se vautre dans la nuit de la bêtise, de l'ignorance, de l'obscurantisme et de l'inculture généralisée.

Face à la réalité indiscutable de Verdun, ceux qui ont défendu la mémoire de nos soldats sont traités de "fascistes". Eux "qui par les maigres moyens des réseaux sociaux ont voulu empêcher de voir transformer l'ossuaire de Douaumont en arrière-plan d'un divertissement de masse", alors que l'inculture socialo-populiste se montre de plus en plus arrogante. "Nous recueillons les fruits d'un enseignement moral sans fondement, sans hiérarchie, sans profondeur, où le seul impératif est de traquer le "fascisme" renaissant et le retour d'un "ordre moral nauséabond". Un antiracisme hors-sol qui ne comprend rien".

Dans la nuit de l'obscurantisme et de l'inculture socialiste généralisée, il faut que la civilisation honnie de l'Occident chrétien soit niée au profit de la barbarie et du mensonge du politiquement correct de la caste politico-médiatique ! C'est pourquoi l'industrie du mensonge et de la propagande socialo-populiste a encore de beaux jours devant elle, au moins jusqu'en 2017.

Pour contrer Robert Ménard et Marion Maréchal-Le Pen, pour qui "Tout est histoire", Jack Lang veut nous faire croire que, même pour le pire de la propagande gay-mondialiste du pire, "Tout est culture" !

Il faut absolument nier la "plainte d'un blessé dans la nuit glaciale et pluvieuse" (Genevoix)… Les faits, les hommes, les lieux, les dates sont des outils jetables pour politiciens (ignares). Dans nos temps de "profanation intégrale" (Alain Finkielkraut), il n'y a plus ni silence ni recueillement. Ni dignité, même. Tout se vaut et tout se vautre dans la médiocrité. "On oubliera, écrit Roland Dorgelès dans Les Croix de bois. Les voiles de deuil, comme des feuilles mortes, tomberont. L'image du soldat disparu s'effacera… Et tous les morts mourront pour la deuxième fois…" (tiré de Vincent Trémolet de Villers, Le Figaro, cité par Polémia).